La communauté guinéenne de Bruxelles est sous le choc ! L’ancienne ambassadrice de Guinée en Belgique, Aïssata Doukouré, a été arrêtée dans des circonstances pour le moins… surprenantes ! Et tenez-vous bien : ce n’est pas une affaire de haute diplomatie qui l’a menée derrière les barreaux, mais un drame familial déchirant qui se serait déroulé dans l’intimité de sa résidence bruxelloise.
Immunité diplomatique bafouée ou justice familiale ? Le mystère plane !
Le Ministère des Affaires étrangères guinéen est en ébullition ! Dans une note datée du 25 juin 2025, ils ont demandé des explications urgentes au Service Public Fédéral Affaires Étrangères belge. Leur indignation est palpable : ils affirment que Madame Doukouré jouit toujours de son immunité diplomatique, conformément aux conventions de Vienne.
« C’est avec beaucoup de regrets que nous avons appris l’arrestation de l’Ambassadeur DOUKOURE à la Résidence des Ambassadeurs de la République de Guinée à Bruxelles sans en être informé ni avant ni après malgré qu’elle jouit toujours sous immunité diplomatique », peut-on lire dans leur courrier. Un véritable bras de fer diplomatique en perspective ?
Maltraitance et scène de ménage : Ce que disent les sources !
Mais ce qui fait vraiment jaser, c’est la raison de cette arrestation. Selon nos sources exclusives, c’est l’un de ses propres enfants qui aurait alerté la police belge pour maltraitance ! Imaginez le choc !
Il semblerait qu’une vive altercation ait éclaté il y a environ deux semaines, lorsque l’ex-ambassadrice aurait annoncé à ses enfants qu’ils devaient se préparer à rentrer en Guinée à la fin de l’année scolaire. Une nouvelle qui n’aurait visiblement pas enchanté la progéniture, bien décidée à rester sous les cieux belges. La dispute aurait dégénéré en « voies de fait », et la police serait intervenue pour constater les dégâts.
Alors, simple désaccord familial qui a mal tourné ou véritable situation de maltraitance ? L’enquête est en cours, mais une chose est sûre : cette affaire secoue les coulisses de la diplomatie guinéenne et met en lumière les tensions parfois insoupçonnées derrière les portes closes des résidences officielles.
Pour rappel, Aïssata Doukouré a été rappelée de ses fonctions d’ambassadeur par un décret du 21 novembre 2024. Son remplaçant n’a toujours pas été nommé, ajoutant une couche d’incertitude à cette affaire déjà explosive.
La question qui demeure est: L’immunité diplomatique doit-elle couvrir de tels actes ?
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