Ce sont : Souleymane Sylla, Patrice Sandouno, Sayon Koivogui et Mohamed Lamine Soumah.
Ils sont accusés de séquestration et de trouble à l’ordre public, entre autres griefs. Ces arrestations surviennent dans un contexte de forte tension, où les travailleurs dénoncent avec véhémence la gestion de leur Secrétaire exécutif, Dr Mohamed Bérété.
Parmi les revendications majeures figurent l’imposition d’un nouvel organigramme jugé arbitraire, une réduction drastique du personnel et la non-réhabilitation de salaires et de primes de carburant pourtant acquis. Les contractuels réclament également la reconnaissance de leurs droits. Cette situation de crise met en lumière les défis internes auxquels l’ANLC est confrontée, menaçant de fragiliser davantage une institution dont la mission est cruciale pour la bonne gouvernance en Guinée. Le malaise est profond et exige des mesures rapides pour apaiser les tensions et garantir le bon fonctionnement de cette agence vitale.
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