C’est une initiative sans précédent en Guinée. Le Mouvement Saran Chérif pour la continuité du Général Mamadi Doumbouya (MOSACCOD) a marqué les esprits en important 10 000 tonnes de maïs, destinées à soutenir les aviculteurs confrontés à une grave pénurie. Les céréales ont été livrées au port autonome de Conakry.
À travers cet acte concret, le MOSACCOD démontre sa capacité d’action et son engagement envers le bien-être des populations. Sous la conduite de Hadja Djaba Doumbouya, figure emblématique et coordinatrice mouvement, cette opération vise à soulager les producteurs nationaux tout en contribuant à la lutte contre la flambée des prix des denrées avicoles.
‘’Oui, avec Maman Hadja Djaba Doumbouya, on peut combattre la misère’’, soupire Oumar Sacko, président du MOSACCOD, fier de cette action d’envergure.
Au MOSACCOD, les mots sans les actes ne valent rien. Hadja Djaba Doumbouya, une femme d’action, se souciant du bonheur des guinéens, œuvre de manière inlassable pour améliorer leurs conditions de vie.
La cargaison sera distribuée à travers le pays, de Conakry à Yomou, avec un objectif clair : casser les prix et soutenir le pouvoir d’achat.
‘’Le kilo se négocie actuellement à 5000 GNF, nous, on va réduire à 3 500 GNF’’, annonce M. Sacko, malgré, selon lui, une hausse du prix du maïs sur le marché : ‘’A 3500 GNF le kilo, On va contribuer à réduire le panier de la ménagère et le cout de la vie.
Cette baisse significative devrait entraîner un recul du coût du poulet et des œufs, selon les promoteurs de l’initiative. Pour eux, il ne s’agit pas uniquement d’un acte symbolique, mais d’une réponse concrète.
Les membres du mouvement tiennent à adresser leurs remerciements les plus sincères au président Mamadi Doumbouya, pour la confiance accordée, ainsi qu’à l’ensemble des acteurs œuvrant pour la continuité et le progrès du pays.
Ils saluent également la détermination et la discrétion de Hadja Djaba Doumbouya, ‘’une femme d’action, discrète mais déterminée, entièrement dévouée aux causes sociales et aux communautés guinéennes’’.
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