La grâce présidentielle accordée par le président Mamadi Doumbouya à Moussa Dadis Camara, ne laisse pas la Fédération internationale des Droits de l’Homme (FIDH), indifférente. Cette organisation de défense des droits humains qui s’était constituée partie civile aux côtés des victimes du massacre du 28 septembre 2009, dit être dans l’incompréhension. Dans un entretien exclusif
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