CONAKRY-La grâce présidentielle accordée à Moussa Dadis Camara, condamné à 20 ans d’emprisonnement pour crimes contre l’humanité reste toujours en travers de la gorge de certaines victimes du massacre du 28 septembre 2009 et leurs soutiens. L’arrivée d’une délégation de la Cour pénale internationale à Conakry a réveillé les vieux courroux. « Au-delà des réparations demandées
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