Le coup d’envoi des épreuves du baccalauréat a été donné ce lundi 23 juin 2025 sur l’ensemble du territoire national. Dans la commune de Matoto, ils sont 12 972 candidats dont 6 147 filles qui affrontent les épreuves dans 26 centres parmi lesquels un en enseignement franco-arabe.
Le maire de la commune de matoto, Moussa Diallo ainsi que les autorités éducatives, ont procédé au lancement officiel au lycée Léopold Sédar Senghor de Yimbaya.
Présent lors du lancement, Sékou Kaba, Directeur communal de l’éducation de Matoto, s’est félicité du travail accompli, tout en appelant à une plus grande implication de l’ensemble des acteurs.
«La direction communale de l’éducation de Matoto a présenté au baccalauréat tout profil confondu 12 972 candidats, dont 6 147 filles. Répartis dans 26 centres, dont un en enseignement franco-arabe. Le dispositif, vous-même vous l’avez vu, dans chaque centre, il y a ce qu’on appelle deux agents de sécurité. Et puis, nous lançons les épreuves du baccalauréat dans la neutralité, dans le respect strict des règlements généraux des examens scolaires et dans le plus grand sérieux », a-t-il déclaré.
Pour la dernière ligne des examens nationaux après le CEE et le BEPC, Monsieur Moussa Diallo a appelé les candidats au respect du règlement et à ne pas céder au stresse.
«J’ai eu à leur donner des conseils, de ne pas surtout paniquer, c’est un examen comme tout autre examen. De lire bien les questions, de les comprendre avant de passer aux réponses. Ne pas être ambitieux, ne pas se stresser, et c’est comme ça qu’ils pourront donner des réponses adéquates. Et aussi de respecter les consignes qui sont données, les interdits, c’est-à-dire les communications qui peuvent les compromettre à l’examen, les arrêter. Ne pas frauder, laisser les téléphones dehors, et se concentrer sur tout. C’est seule la concentration et le sérieux qui peuvent les amener au succès. Donc, il faut les encourager », a souligné le maire de la commune de matoto.
A l’endroit des encadreurs, il a précisé : «J’ai aussi eu un petit mot pour les surveillants, pour leur dire de maintenir un atmosphère réellement relax, pour leur permettre d’avoir confiance en eux. Parce que quand on a confiance en soi-même, dans une épreuve, dans quoi que l’on fasse on a la chance d’aboutir. Donc, de maintenir l’atmosphère très relax, et permettre aux enfants de se concentrer de mieux. Ils ne sont pas venus pour les intimider c’est juste une évaluation ».
Le baccalauréat s ession 2025 qui a débuté ce luni 23 juin prendra fin le vendredi 27 juin prochain.
Mayi Cissé
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