L’examen d’entrée en 7e année a débuté ce jeudi 12 juin sur toute l’étendue du territoire national. Au centre Bademba 2 Fofana et Hadja Manian Oularé dans la commune de Dubréka, les épreuves ont démarré dans la plus grande sérénité.
Au centre Hadja Manian Oularé, le sujet de rédaction a été lancée à 9h00. Au total, 295 candidats dont 210 filles sont appelés à affronter les épreuves pour tenter de décrocher le Certificat de fin d’études élémentaires. Le délégué de ce centre, Mamadou Aliou 3 Bah, affirme que tout se passe dans le calme.
‘’Ici, les filles sont très nombreuses. Il y a trois salles de classe où il n’y a que des filles. Ça se passe dans le calme et la sérénité. Il n’y a aucun problème. Il y a des candidats qui commencent à dire qu’ils sont malades, mais comme il y a un agent de santé, on a bien géré. On a prodigué de sages et utiles conseils non seulement aux candidats, mais aussi aux surveillants pour éviter des cas de fraude’’, indique-t-il.
Au centre Bademba 2 Fofana, 404 candidats dont 149 filles sont inscrits. Le délégué du centre, Mamadou Diouldé Bah, a déploré 24 absences non justifiées.
‘’Depuis la veille de l’examen, nous avons reçu l’inspecteur régional chargé de superviser les différents centres dans la commune de Dubréka. C’est un message d’apaisement et de dédramatisation qu’il nous a donné. L’année dernière, les gens avaient mal interprété le concept de dédramatisation. Donc, on a voulu le remplacer par l’apaisement. Il y a aussi eu un message de responsabilité adressé à chaque surveillant. Ce qui fait qu’il n’y a pas eu de problème, ni de fraude, parce que les enfants étaient préparés. Ils ont été largement sensibilisés autour du mât. Nous avons aussi tenu une réunion technique avec les surveillants hier. Ils savent que c’est un examen apaisé, responsable, avec tolérance zéro’’, ajoute Mamadou Diouldé Bah.
Il espère que les examens se poursuivront dans la plus grande sérénité. ‘’Nous attendons à ce que l’examen se passe bien, sans incident. Qu’il n’y ait aucun éliminé, que ce soit au niveau des candidats ou des surveillants, ni de cas de maladie. Qu’on puisse se séparer dans les meilleures conditions’’.
Djiwo BARRY, pour VisionGuinee.Info
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